Francesco Voltaggio Directeur de Redemptoris Mater à Galilea
Israël le pays qui a la culture de la liberté de culte
Depuis la Déclaration d’Indépendance de l’Etat d’Israël en 1948 la liberté de culte est un droit fondamental. Chaque communauté religieuse est libre, juridiquement et de facto, de pratiquer d’enseigner et de transmettre sa religion, de célébrer ses fêtes, d’observer son jour de repos hebdomadaire et d’administrer ses propres affaires.
Israelandyoo a rencontré deux hommes représentatifs de cette coexistence cultuelle constitutive de l’état hébreu Fayez Azzam a l’aspect et le discours du sage. Sa famille appartenant à la communauté druze est depuis dix générations dans le pays. Il a un vécu de haut fonctionnaire et d’enseignant de sa culture à l’université . Il est à l’image de la très grande majorité de ses coreligionnaires un modèle d’intégration. Pour lui socialement et religieusement un druze est un israélien comme un autre, avec les mêmes droits et les mêmes devoirs.
Cette fois le paysage est déjà tout un message. A propos des deux grands monothéismes chaque pierre conte une histoire bi-millénaire. Nous voici dans les collines de Galilée dominant le lac de Tibériade au sommet du Mont des Béatitudes dans la Domus Galilea, un lieu ouvert aussi bien aux croyants des trois religions du livre qu’aux laïcs et aux agnostiques. Nous sommes avec le célèbre Père Francesco Voltaggio. Lui est un ecclésiastique qui communique et vit l’œcuménique et l’organisateur de plusieurs réunions multi-confessionnelles de grande ampleur.Son credo : chaque homme est saint , puisqu’œuvre de Dieu. Aux prêtres qu’il forme en plusieurs langues dont l’arabe et l’hébreu pour pouvoir échanger avec tous les israéliens il transmet ce credo…religieusement !
Fayez Azzam et le Père Francesco Voltaggio deux exemples parmi tant d’autres de la façon dont la liberté de culte se vit en Israêl